DECEPTION !
Très
sincèrement, je croyais vraiment depuis très longtemps être citoyen d’une grande nation. Que nenni mes vieux gars, que nenni ! On nous rabâche que nous sommes la 5e puissance industrielle mondiale ! Malgré ce que veut nous faire croire la grande presse » – subventionnée-, ça n’a pas l’air d’être la réalité. |
Surtout, lorsque l’on est dépendant des pays producteurs de « l’or noir ». Réduction des budgets militaires, réductions des effectifs d’enseignants, des prisons surpeuplées dans des états de délabrement innommable, un porte-avions en cale sèche, des dizaines d’entreprises qui ferment, etc. Et on veut nous faire croire que le chômage est à la baisse ! à la hausse : les képis, les radars, les frais de fonctionnement de l’Elysée, les carburants bien sûr, etc, etc. Et l’Europe, avec tous les maux qu’elle génère un peu partout, sans compter ses 80 millions d’habitants qui vivent sous le seuil de pauvreté, ça fout pas les boules, ça ? Tout ça me fait penser à une chanson de Michel Sardou :
« Méfions nous des fourmis » dans laquelle je vous cite un paragraphe. « Les combats d’un lion et du vent, d’un roi du rif d’un président, c’était il n’y a pas si longtemps, mais c’était du temps des géants. Sur cette planète où je vis, mon pays n’a plus d’ennemi, mon pays n’est plus un pays. De jour en jour, on rétrécit, on rétrécit, on rétrécit, méfions-nous des fourmis »… Il semblerait que les syndicats se la jouent « perso » (page 41) et que certains d’entre eux soient -personna non gratta- lorsqu’il s’agit de s’asseoir à la table des négociations. Encore une fois le vieux proverbe : diviser pour mieux régner, prend tout son sens. De toute façon, moi, les syndicats… Malgré crise réelle à cause du prix du gazole, ainsi que le prix sensiblement plus élevé des motorisations diesel, à la rédaction nous continuons à essayer principalement les mazout, l’habitude sans doute ! Mais aussi, grâce aux excellents couples de ces moteurs à bas régime. Il faudra tout de même rester vigilant et bien tenir ses comptes, afin de savoir à quel moment le diesel n’est plus rentable même pour les grands rouleurs comme vous. Bonnes vacances tout de même, on se retrouve début septembre. Christian Thomas
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Il semblerait que les syndicats se la jouent « perso » (page 41) et que
certains d’entre eux soient -personna non gratta- lorsqu’il s’agit de
s’asseoir à la table des négociations. Encore une fois le vieux
proverbe : diviser pour mieux régner, prend tout son sens. De toute
façon, moi, les syndicats…
Malgré crise réelle à cause du prix du gazole, ainsi que le prix
sensiblement plus élevé des motorisations diesel, à la rédaction nous
continuons à essayer principalement les mazout, l’habitude sans doute !
Mais aussi, grâce aux excellents couples de ces moteurs à bas régime.
Il faudra tout de même rester vigilant et bien tenir ses comptes, afin
de savoir à quel moment le diesel n’est plus rentable même pour les
grands rouleur