Dodge Journey

dodge-journey2.jpg

AVEC DODGE JOURNEY ELLES ETAIENT BONNES LES…

… 2 journées !

Le service de presse de la célèbre marque américaine nous
avait concocté un essai, malheureusement trop bref en Espagne :


Barcelone…Costa Brava, Filiu (super). Côté « hostellerie »
c’était château… encore, encore !

Mais revenons à nos Dodge

« Journey ».

Toujours à la recherche d’un look décalé, relativement
viril, la marque au bélier s’est étoffée de deux nouveaux modèles turbodiesel
2.0 litres de 140 ch. : un avec boîte automatique 6 rapports à double
embrayage, l’autre avec une boîte manuelle 6 vitesses, surmutiplicateur.

Étonnamment, c’est cdodge-journeye dernier qui m’a semblé le plus sympa à
utiliser.

Peut-être est-ce dû au ronronnement -bizarre- du moteur lors de la
relance du modèle automatique/double embrayage. On a l’impression que ça
patine. Peut-être, un problème de réglages, et aussi à mon esprit motard, qui
n’aime pas les bruits suspects ? Il est vrai que les modèles que nous
essayons sortent souvent des boîtes et sont livrés par des camions plate-forme.
On va attendre un peu et redemander un essai d’une motorisation boîte
automatique avant de porter un jugement définitif. Avec un couple maxi de 310
Nm : 1 750 à 2 500 tr/min, les « pros » de la -pédale douce- de
droite, pas de gauche… ne devraient pas consommer plus de 8,4 l (boîte
méca),
9,1 l (boîte auto) en cycle
urbain, en mixte : 6,5 l et 7,0 l, et en extra urbain : 5,4 l et 5,9
l (données constructeur), qui semblent d’après nos -savants calculs- assez
réels pour 250 kms. Emissions de CO2 g/km : 172 (méca), 186 (auto).

Le
modèle 5 places me semble très bien adapté à la profession, car il permet de
bénéficier d’un coffre de 783 litres ! Alors que le sept places n’a plus
que 155 l. Cela étant, vous pourrez toujours prendre un modèle sept places et
rabattre (très facilement) les deux sièges de la dernière rangée pour augmenter
le volume du coffre. Malgré un faux air de 4×4, le confort est de mise, et tous
les sièges sont très confortables. La garde au toit est bonne, idem pour les
jambes. Le Journey, bénéficie d’une multitude de rangements, et d’astuces pour
utiliser de différents manières la modularité des sièges. La sécurité n’a pas
été oubliée non plus : Airbags à tous les étages…, freins à disques sur
les 4 roues, ABS, ESP, assistance au freinage d’urgence, anti-patinage, aide au
démarrages en côtes, etc. Si vous souhaitez vous démarquer un peu, à une époque
où la standardisation est devenue monnaie courante, pourquoi pas un
« Journey ». De plus, l’homologation « taxi » est dans les
tuyaux.

Chistian Thomas